19.5.08
Die Stille (2)
Pour qu’on l’annonce a tout les humains
De Grands Statuts et d’ovations,
Le peuple hurle à la perte de la chaleur entre ses reins,
À la fraicheur de sa copulation.
Je vois les ruelles peuplées de pauvres
Affamés, drogués, ensorcelés,
Des Cœurs couverts de merde et de morve
Et vous vous oubliez ces damnées !
Les portes s’ouvriront et bientôt d’un marais rougeâtre,
Pas d’une politique sinistre, gauche et ternie,
Mais d’une faim et d’une soif si pleinement âpres,
La Schizophrénie des rues sera établit.
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