19.5.08

Die Stille (3)




J’ai poignardé ta paume,
Un prix élevé pour m’avoir montré
La douceur de tes mains et donc ton âme,
Comme ton sang, tes larmes n’arrêtent pas de couler,

Eros est tout à fait bidon,
L’abîme des faibles et des connards,
Une cacophonie de gouts et de sons,
Pour empêcher un supposé destin vide, gris et cafard.

Ne te perd pas dans cette chaleur d’or,
Il y a une dissonance avec notre réel intérêt,
Ne te jettes pas dans mes bras et cache ton corps,
Mais je m’en rassure et je vous préviens ca ne durera pas l’été.

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